Les aventures loufoques du maquillage de Noël
Découvrez les aventures hilarantes et scintillantes du maquillage de Noël, entre paillettes récalcitrantes, rouges à lèvres festifs et faux cils audacieux. 🎄💄✨
Les aventures loufoques du maquillage de Noël
L’appel irrésistible des paillettes
Noël approche à grands pas, et comme chaque année, ce sentiment familier et chaleureux de la période des fêtes commence à s’emparer de moi. La première aventure loufoque du maquillage de Noël commence généralement avec un plongeon dans un océan de paillettes. Oui, les paillettes sont à Noël ce que les bonbons sont à Halloween — inévitables et totalement irrésistibles. En temps normal, je marche avec assurance, mais dès que je me mets à manipuler de la poudre scintillante, je deviens soudainement aussi habile qu’un chat essayant de jongler.
Les paillettes: un enjeu mission impossible
Imaginez la scène : une table saturée de petites bouteilles et de tubes colorés, et au centre, la cible parfaite — mon visage. Cependant, l’application des paillettes n’est jamais aussi simple qu’elle en a l’air. Récemment, une expérience a transformé mon salon en une sorte de boule à facettes vivante. Armé d’un pinceau et d’une patience déjà précaire, je me suis retrouvé à étaler des paillettes dorées sur mes paupières. Ce qui semble être une tâche délicate et élégante se transforme rapidement en une bataille rangée pour éviter de devenir une cocotte minute de paillettes.
Les paillettes: un facteur de délire
Ce qui est encore plus divertissant dans cette quête, c’est la persistance des paillettes. PewDiePie a peut-être ses factions dans “Minecraft,” mais mes paillettes sont davantage du genre “Voyageur Cosmique.” Et comme le karma, elles reviennent toujours. Un jour, il faut recoller des paillettes égarées sur mon chat. Le lendemain, je les retrouve dans mon café. Et parfois, en début d’année suivante, il y a encore des paillettes coincées sous mes ongles. C’est aussi dramatique que penser que je les verrai encore longtemps après Noël.
Les rouges à lèvres de l’excès festif
Ah! Le rouge à lèvres. Une autre aventure de Noël où l’excès festif est la norme. On parle ici de rouge ardent, bordeaux profond et même de nuances impossibles à définir. Porter du rouge à lèvres à Noël est comme annoncer fièrement “Je viens de remonter sur Terre en crawlant les «Champis» de Mario Kart.” Mon amour pour le rouge à lèvres durant cette période festive me posant parfois des questions éthiques du type «Est-ce que cette nuance m’avalerait toute crue en moins de deux?».
Le dilemme des nuances
Avant Noël, mon choix de couleur se porte la plupart du temps sur des options un bruit en sourdine. Mais au moment où les lumières de Noël brillent, mes ambitions de maquillage deviennent aussi audacieuses que les spectacles de Broadway. Chaque année, il y a ce rouge à lèvres particulier — le rouge le plus vif et exagérément pigmenté que l’on puisse imaginer. Pourtant, au bout de quelques minutes, je commence à douter : ai-je l’air plutôt chic, ou comme quelqu’un qui vient de se disputer avec un yaourt à la fraise?
Le rouge à lèvres et les repas de Noël
Ce n’est pas la seule complication. Les repas traditionnels de Noël constituent une véritable épreuve pour tester la résilience d’un rouge à lèvres. Imaginez-vous tout sourire devant une dinde rôtie et un gratin de pommes de terre, et à la fin du repas, se voir dans le miroir avec un rouge à lèvres qui a trouvé son propre chemin — moitié sur mes lèvres et moitié… ailleurs. Les amateurs de mode et maquillage appellent cela l’effet “Ombre Lip”, mais dans ma réalité quotidienne, c’est plutôt l’effet “Bataille de Noël dans les tranchées.”
L’art de la décoration du visage: Plus c’est mieux?
Quand il est question de maquillage de Noël, il y a toujours cette tentation débordante de faire plus: plus de couleurs, plus de détails festifs, plus d’extravagance. C’est comme si une petite voix à l’intérieur de moi disait “Et si tu essayais quelque chose d’encore plus… Noël?” Comme si je devais me transformer en sapin de Noël ambulant.
Des motifs festifs
L’une des phases les plus hilarantes de cette rituelle est le recours aux motifs festifs. Là, je parle de véritables œuvres d’art miniatures sur mon visage. Des petits cadeaux dessinés par-ci, des bonshommes de neige par-là, sans oublier les incontournables sapins avec des boules multicolores. La première réalisation d’un tel chef-d’œuvre se solde souvent par un résultat qui ferait pleurer de rire n’importe quel maquilleur professionnel.
Le revers de la médaille
En parlant de revers de la médaille, il y a cette foutue patience qu’il faut avoir. Imaginez tenir un petit pinceau dans une main tremblante, essayer de dessiner un bonhomme de neige parfait pendant que l’autre main se meurt d’une crampe insupportable. Encore plus hilarant, c’est la réaction des autres. Lors des réunions de famille, les enfants souvent hypnotisés par mes talents de «picasso figuratif» et les adultes tentent de cacher leur amusement en me glissant un “Oh, c’est… intéressant!”
Le fard à joues: le traître invisible
Entre nous, le fard à joues est probablement le plus traître de tous les produits de maquillage de Noël. Il peut transformer n’importe quelle personne en une poupée russe en l’espace de deux coups de pinceau mal placés. Chaque Noël, je décide de donner à mes joues cette lueur chaude et festive. Sauf que souvent, je me retrouve avec un look qui hurle “j’adore passer des heures dans le sauna.”
L’enthousiasme débordant
Le problème avec le fard à joues, c’est l’enthousiasme. En pleine euphorie de Noël, je me mets en tête qu’un orage de blush rose sur mes joues est une brillante idée. Un peu plus, un peu plus, et me voilà à ressembler à ces cherubins roses des peintures de la Renaissance. Toute cette bravoure étant particulièrement amplifiée par l’idée que “plus, c’est toujours mieux”.
Les mèmes de Noël
Ça ne rate jamais. Le matin de Noël, une seule photo de famille suffit pour immortaliser les dégâts. Je ne peux même pas compter le nombre de fois où j’ai fini par être le dindon de la farce, réapparaissant plus pâle que mon fard à joues. Comme on dit, il n’y a pire sourd que celui qui ne veut entendre ses joues se plaindre de surmenage.
Les highlighters: éclat ou excès?
Puis viennent les highlighters. Ces petites merveilles scintillantes qui promettent cette touche de glamour pour vos pommettes ou l’arc de cupidon. Le mot d’ordre à Noël : plus d’éclat! Mon amour pour les highlighters brillant de mille feux commence souvent par l’illusion de discrétion. Cela finit couramment par ressembler à une galaxie posée directement sur mon visage. Entre la nuance champagne et l’arc-en-ciel holo, il y a plus de chances de me retrouver à faire concurrence à la Maison Blanche illuminée pour les fêtes.
Saupoudrer la magie de Noël
L’application d’un highlighter est un art subtil ; suffit de l’effleurer à peine sur ma peau pour que l’effet soit incroyable. Mais on est en période de Noël, et la subtile est pour les amateurs, non? J’essaie alors de saupoudrer ce reflet doré ou argenté sur mes pommettes, mais finalement, en route, je semble m’être transformé en étoile montante.
Le Lumos permanent
Ce qui est encore plus cocasse, c’est l’effet post-application. Vous connaissez sûrement ce moment où chaque fois que vous croisez un miroir, vous vous dîtes “Et mince, est-ce qu’on peut apercevoir ma lueur de l’espace?”. Il arrive aussi à mes amis de me demander en plaisantant si j’ai essayé un sort Lumos involontairement franchi chez les moldus. C’est charmant, n’est-ce pas?
Des cils extravagants
Enfin, il y a les cils. À l’approche de Noël, ils sont rehaussés d’une extravagance qui ferait rougir une drag queen professionnelle. Faux cils, mascaras pailletés et formes exubérantes sont au menu. Mais ce qui semble être un régal pour les yeux, devient souvent une aventure épique de mille et une peines.
Les faux cils: une saga omnique
Porter des faux cils c’est comme apprivoiser un dragon: nécessite une grande patience et un esprit téméraire. Peu d’aventures de maquillage de Noël surpassent la mésaventure des faux cils. Singer quelques faux cils dorés et pailletés peut faire ressembler mes yeux à des étoiles émerveillées. Cependant, la tâche fastidieuse de les ajuster correctement affiche plus souvent un résultat digne d’un opéra burlesque.
Un geste simple… en théorie
Ajouter du mascara pailleté c’est comme asperger une tarte de sucre glace: agréable en théorie, mais débouchant régulièrement sur une catastrophe douce. Le fait que je tienne toujours à mes cils même après une application manuelle témoigne de mon optimisme à toute épreuve. Plus les couches s’ajoutent, moins elles colorent chaque cil individuel. À la fin, c’est plus un confetti ambulant qu’un déploiement majestueux de plumes enchanteresques.
Au final, la magie du maquillage de Noël réside dans ces aventures loufoques et imprévisibles. Chaque paillette, chaque éclat de rires, chaque mème de famille fait partie de mon conte festif annuel. Alors laissons libre cours à la créativité, rions ensemble des trébuchements maquillagesques et célébrons les éclats colorés des fêtes de fin d’année!
Merci d’avoir pris le temps de lire mes péripéties maquillage ! Si vous avez apprécié cet article, n’hésitez pas à l’applaudir, à laisser un commentaire et à vous abonner à ma newsletter Medium pour ne manquer aucune de mes prochaines aventures. Joyeux Noël à tous! 🎄💄✨